Histoire

L’Association Vittorino Chizzolini Coopération Internationale ONLUS vise à promouvoir l’éthique de la coopération internationale qui se fonde sur la confiance entre les personnes et sur le respect de la dignité humaine. L’Association agit en garantissant l’effectivité des droits de l’homme universels, indivisibles et interdépendantes.

L’Association s’inspire à une éducation conçue comme “bien commun”, comme un lieu et une espace solidariste entre les personnes dont l’élément fondateur est représenté par le processus participatif. Le bien commun se réalise grâce à une relation mutuelle, à un partage d’expérience dans lequel et par lequel les personnes atteignent leur bien-être et le bien-être de la communauté.

Les activités en Italie se sont déroulées en partenariat avec les organisations publiques, privées et civiles et, en particulier, avec le monde associatif, pour créer une culture basée sur le respect et la promotion de toutes les personnes.

L’Association a geré  des projets de coopération internationale dans les pays de l’Afrique Sub-saharienne et de l’Asie en cogestion et en partenariat avec les structures formatives locales.

Les principaux projets ont été:

1. Formation des cadres de l’Université et de la société civile en Honduras, Cambodge, Congo (RDC)  
2. Recherche sur sull’effectivité du droit à l’éducation dans 6 regions du Burkina Faso en collaboration avec l’APENF (Association pour l’Education non formelle du Burkina Faso)
4. Appui à l’éducation de base dans les villages de la region de Khulna au Bangladesh  

En plus l’Association a appuyé:

  • Recherches aux jeunes signalés pas les Universités de Kananga (Congo), Sant Paul (Takeo), Royal University (Phnom Penh) sur les thèmes du développement et des droits de l’homme (clicca qui
  • Séminaires avec la société civile sur le dialogue interculturel et inter-religieux au Cambodge

La transformation de l’Association Vittorino Chizzolini en Fondation est un choix qui veut consolider à la fois une présence et une affirmation des valeurs de la Déclaration universelle des droits de l’homme, des principes de la coopération internationale pour construire l’interdépendence entre personnes, cultures et savoirs.

Agir en Afrique et en Asie c’est saisir le beau et le bien et développer fructueusement le sens de l’humanité et de la fraternité. C’est en rencontrant les autres, en saisissant et en intériorisant leurs désirs, leurs aspirations, leurs richesses culturelles, leurs visions du monde et les profondes significations religieuses de leur vie qu’une nouvelle façon de vivre en solidarité se construit.

Les droits humains ne sont pas seulement des normes juridiques ; pour la Fondation sont la voie à suivre pour construire une société démocratique.

Pour la Fondation, les frontières ne sont pas servent pas à séparer mais sont des lieux de rencontre, d’échange et d’accueil. Il n’y a pas de charité sans justice et la fraternité précède et fonde la solidarité Dans ce sens, la Fondation, en abordant la question des migrations dans une perspective de droits et de devoirs, se veut un point de départ pour semer une nouvelle façon de penser, de se rencontrer et d’accueillir, sachant que chaque accueil change la perception de l’Autre et de chacun de nous.

Nous souhaitons faire de la Fondation un lieu générateur de visons interdépendants, où l’action concrète, à travers des projets de coopération, est liée à la recherche culturelle et spirituelle et à une profonde attention au pluralisme religieux. Un lieu dans lequel chaque projet de coopération est étroitement lié à la connaissance du partenaire, au partage respectueux et à l’enrichissement réciproque grâce à la diversité, mais aussi à la prise en compte de l’identité d’origine de nos frères.